Journal d’un homme sans importance
- Libella
- 23 mars 2020
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 24 mars 2020
George Grossmith, Weedon Grossmith

« Le livre le plus drôle du monde. » Evelyn Waugh
« La principale qualité de ce journal, c’est qu’il n’a pas d’intérêt. Pourtant, la vie de Charles Pooter nous touche, nous l’aimons, nous nous attachons à lui, nous dévorons sa prose. Il nous émeut. (…) Sa grandiose médiocrité, si humaine, est un riant miroir tendu à la nôtre. »
Julien Burri, Le Temps
« L’art des frères Grossmith oscille entre le comique de Molière et le réalisme de Dickens. »
Bernard Leconte, Service littéraire
« Ce Journal à l’humour débonnaire et froid a peu à peu acquis un statut de livre culte, notamment grâce aux éloges d’Evelyn Waugh et de George Orwell, qui y voyait une excellente description de la classe moyenne des années 1880. »
Bernard Quiriny, Le nouveau Magazine littéraire
« Un trésor méconnu de la littérature anglo-déconnante. » Gérard Lefort, Les Inrockuptibles
Le personnage principal de ce Journal est Mr Charles Pooter. C’est un employé modèle d’une firme de la City avec ses gaucheries, ses susceptibilités, ses admirations naïves, ses indignations, ses scrupules, ses gaffes, sa modestie, son désir de bien faire, son respect des hiérarchies et son sens de la dignité. Quoi qu’il nous soit décrit dans des situations souvent absurdes ou ridicules, il s’efforce néanmoins, de façon maladroite mais ô combien touchante, d’agir en toutes circonstances selon son éducation et avec une scrupuleuse honnêteté.
À l’instar des personnages de Dickens ou de Robert Walser, Charles Pooter appartient à la classe des gens d’en bas, ceux dont la vocation est de regarder avec admiration, mais sans envie, le monde d’en haut. Car le sel de la terre, contrairement à l’opinion romantique, n’est pas le héros, le roi, le prophète, le révolutionnaire, bref, le grand homme porteur de foudres et de tempêtes, c’est le petit, le tout petit bourgeois qui, rentré de son bureau, le soir, enfile ses pantoufles et débouche une bouteille de porto achetée chez l’épicier du coin pour fêter une augmentation de salaire.
C’est pourquoi Le Journal d’un homme sans importance se lit non pas comme un livre ordinaire, mais comme un évangile – livre d’un dieu ordinaire à l’usage d’hommes ordinaires.
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