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La Colombe d’argent

  • Libella
  • 4 mai 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 mai 2020

Andreï Biely, traduit du russe par Anne-Marie Tatsis-Botton

« L’un des chefs-d’œuvre les plus hallucinés de la littérature russe. »

Nicolas Weill, Le Monde des Livres

« Il y a une force non contrôlée dans La Colombe d’argent, le premier roman d’Andreï Biely, et elle entraîne aussi bien des alluvions caillouteuses qui se perdent et qu’on oublie vite que d’incroyables boues fertiles. »

Christian Mouze, En attendant Nadeau


« Dans un style hautement inflammable, envoûtant, Andreï Biely fait de l’homme et de cette société un portrait où l’exactitude de l’ethnographe se conjugue à l’acuité du voyant, et qui a l’intensité d’un rêve éveillé. C’est-à-dire d’un rêve dont on ne peut pas se réveiller. »

Franck Adani, Études


« Un immense et inclassable roman. »

Jacques Franck, Arts libre

Intellectuel occidentalisé déçu par toutes les idéologies mais ayant toujours au cœur la nostalgie d’un idéal inconnu, Darialski, le héros de La Colombe d’argent, se laisse séduire par une paysanne inculte, symbole pour lui de la Russie profonde, et tombe sous la coupe d’un homme sombre et rusé, fondateur d’une secte maléfique. C’est une Russie mi-païenne, mi-chrétienne, la Russie des convulsionnaires et des flagellants, mais aussi la Russie en proie à l’essor du capitalisme et à l’effervescence révolutionnaire, infiltrée d’espions et de provocateurs, qui est présentée ici. Les scènes de transes érotico-mystiques, scandées de formules magiques, sont parmi les pages les plus extraordinaires de ce livre.


Œuvre de mystique, de poète, récit initiatique et rapport d’ethnographe, conte philosophique et roman policier, satire hilarante et drame sanglant, La Colombe d’argent est inclassable.

« On a envie de fuir quelque part, mais il n’y a plus d’endroit où fuir... Vraisemblablement, c’est toujours ainsi après un incendie. De désespoir, j’ai relu La Colombe d’argent. Dieu ! Comme cette chose est admirable ! Qui oserait dire que les Remizov, les Zamiatine et les Alexis Tolstoï ont créé quoi que ce soit de comparable ? Ils devraient embrasser les semelles de Biely, tous sont ses apprentis. Quelle langue ! Quelles digressions lyriques ! Après ça, on peut vraiment mourir ! C’est notre unique joie depuis Gogol ! » (Sergueï Essenine, 1921)

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